aller encore un chapitre donc chptre 4
Lui :
« Pop music, je vous ferais écouter si vous voulez » puis il regarda sa montre un gros bazar de chez je ne sais pas, enfin quelque chose comme une montre qui ne vient pas de n’importe où, si vous voyez ce que je veux dire. Il dit : « si nous y allions ? I’m hungry, and you ? » (je traduis : j’ai faim, et vous)
Moi : (au septième ciel)
« euh , oui, » et ma petite voix de petites filles recommança, c’est drôle mais j’ai toujours cette voix quand je tombe amoureuse enfin quand le mec me plait, c’est agaçant.
Nous quittâmes le bar et nous dirigeâmes vers la sortie de l’hôtel. Car nous allions dîner dehors je pense ? Car cet hôtel avait biensûr un restaurant mais il préféra m’emmener dîner à l’extérieur.
Il siffla une voiture stationnée pas très loin de l’entrée, et qui attendait et vint de suite se présenter devant nous. (je pensai que c’était sa voiture personnelle avec chauffeur, quel classe !). Il m’ouvrit la portière de la voiture, toujours très galant, et me demanda d’y monter, il se mit juste à côté de moi et dit au chauffeur de nous emmener à un restaurant que je connaissais de nom mais je n’y étais jamais aller car trop cher pour moi, c’était le restaurant de la TOUR EIFFEL. C’était grandiose, j’allais goûter au luxe et avec le prince charmant.
PARIS la nuit était magnifique, les lumières scintillaient comme des étoiles, la nuit allait être magique enfin je pense, en tout cas cela commençait plutôt bien. Ne pensez pas ce que vous êtes entrain de penser, non non, une inconnue avec un bel inconnu, non non, je resterai sage jusqu’à ce que j’ai fais sa connaissance et puis on verra bien, je ne sais pas encore si je lui plais, il m’a dit que j’étais très belle, enfin il a exagèré, ouai mais bon il est peut être fiancé, et puis il m’a juste invité à dîner pour s’excuser c’est tout, pas pour me draguer, enfin je suis un peu innocente, vous devez vous dire ? non non, je sais ce que je dis ce que je pense, oui oui, il est très beau, enfin je trouve pour moi, mais c’est pas une raison pour lui sauter dessus, restons correcte je vous prie. Je sais on est à PARIS la ville des amoureux on dit ? et bien non je resterai sage je vous dis, na !
Nous arrivâmes au restaurant, PARIS avait défilé devant mes yeux tout en regardant mon prince charmant qui lui ne me quittait pas des yeux enfin je crois.
Nous montâmes par l’ascenseur de la TOUR EIFFEL toute éclairée et magnifique comme d’habitude, cette grande dame de fer, représentant la grandeur française. J’étais fière de montrer à un anglais cette merveille française que biensûr tout le monde connaissait ainsi que lui apparemment ? Pendant que nous montions à l’étage il me regardait tout en me souriant, soudain il fit une attitude auquel je ne m’attendait pas, il me mit son bras sur mon épaule comme pour me protéger du soudain vacarme que faisait l’ascenseur. Je le laissai faire et Je me sentis soudain rassurer par ce bras sur mon épaule et cette main qui caressa un instant mes cheveux longs bouclés sur mes épaules. Comme il était tendre d’un coup, je me sentis rougir, et je lui souriais à mon tour intimidé quand même par son geste, magré la femme que j’étais, mûre et afirmée et indépendante. Nous fûment à l’entrée du restaurant où un couple s’apprêtait aussi à y pénétrer, nous attendîmes
que le maître d’hôtel s’adresse à nous et quelques secondes après il se dirigea vers nous et nous demandâmes si nous avions réservé. DUNCAN parla anglais biensur et lui dit qu’il avait réservé pour deux et dans un coin intîmes du restaurant. Le maître d’hôtel bilingue lui répondit dans un anglais très correct et nous invita après avoir vérifié sur sa liste, à le suivre. Effectivement, notre table était bien réservé et était dans un coin retiré très intîme et face au Champs de Mars, une vue magnifique.
Nous nous installâmes donc et le maître d’hôtel nous présenta la carte. Je regardais Duncan qui consultait la carte, je le trouvais vraiment beau, il aurait pu faire du manquina je baissai aussitôt les yeux sur la carte des menus quand il releva les siens pour me regarder à son tour. Je crois que j’avais rougi, et J’avais l’impression que l’on jouait au chat et à la souris. Il remit ses yeux sur les menus et me demanda ce que je voulais manger. Enfin de compte je ne savais pas quoi prendre, il y en avait tellement sur cette carte. Je lui demandai de choisir pour moi, je me fichais si je n’allais pas aimer ce qu’il me commanderai enfin de compte je n’avais pas très faim. Il me semble que je devenais amoureuse et ça ne me plaisait pas du tout finalement. je me mis à penser que je ne le connaissais pas plus que ça mais que ça beauté y était pour quelque chose, j’avais rarement vu un si bel homme et les beaux hommes ne m’invitait pas plus que ça, je veux dire pratiquement jamais. Mais que m’arrivait-il donc ? Je vous avoue franchement que je n’y comprenais rien mais je pensai que je devais prendre le bon temps qui m’était offert et de profiter de cette soirée qui me sera sans doute inoubliable ? Il me sortit soudain de ma rêverie avec sa belle voix grave qui me fit un peu sursauter et j’eu peur qu’il s’en apperçoive car il me dit : (et tout en anglais biensûr)
Lui
«Je vous ai fait peur ? »
Moi
« No, no » piquant mon far « no no » et détourant la remarque, moi en français et baffouillant quelques mots d’anglais, « vous m’avez choisi quoi svp »
Lui (fronçant les sourcils interrogateurs mais répondit galamment à ma question et toujours en anglais):
« des aiguillettes de langoustes avec une sauce aux truffes, vous verrez c’est très bon » il me dit tout ça accompagné de son sourire ravageur qui ravageait plutôt mon cœur. Il me montra la carte pour que je comprenne ce qu’il m’avait choisi. Je lui dit en mi-français et mi-anglais :
Moi
« Et bien si vous le dîtes, ce sera très bien » en lui renvoyant son sourire. Et je regardai ma carte pour voir de quoi était fait ce plat. Je vis qu’il était accompagné de petits légumes, ce qui me convint très bien au cas où je n’eu aimé la langouste aux truffes. Je ne lui dis pas biensûr. De tout façon je n’avais pas très faim.
Il commanda le vin qui lui fut conseillé par le sommelier et me demanda avant si j’en buvais et si j’en voulais avec mon repas. Biensur que oui j’en voulais, une française voyons ça si connaît en vin enfin moi j’aime bien de temps en temps biensur.