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SYLVIE CORNET
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SYLVIE CORNET
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SYLVIE CORNET


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MessageSujet: BLUE   BLUE Icon_minitimeMar 28 Juin - 16:54

alors les filles vous me dite ce que vous en pensez merci.


UNE NUIT EN SEPTEMBRE
(aujourd’hui 2005)

mais,
C’est en juillet de l’année dernière que tout commença… (2004)

Je suis à PARIS la capitale où il faut être pour les artistes peintres en principes, il fait beau le soleil est à son zénith, il doit être au environ de midi. Tout va bien je viens de faire les magasins, je suis chargée de paquets comme d’hab…, je marche sur une avenue que vous connaissez bien, ouai les CHAMPS ELYSEES, ouai, elle est géniale cette avenue, on a l’impression d’être sur une autre planète, enfin je marche tranquille, mes paquets à la main mon petit sac rose sur l’épaule et tout d’un coup quelqu’un me bouscule assez violemment ; il devait être assez pressé je présume ; un homme se cogne dans moi, assez grand il me dépasse largement, il doit faire un mètre soixante quinze un mètre quatre vingt, et bing bang, et patatra tout mes paquets valdinguent sur le trottoir et je cris un M**** , que tout le monde autour entend biensûr et lui aussi, et dit :
L’Homme :
« Sorry Sorry, excuse me miss » (je continue en français parce que là je ne parle pas plus l’anglais que ça, mais je compris quand même ce qu’il me dit, souvenir d’école)
Et il ramassa les paquets avec moi, il m’aida à mettre les choses qui s’étaient échappées des poches et tout en ramassant il dit :
(je le dis en français mais il parlait en anglais)
l’homme :
« je suis désolé, d’avoir tout renversé, excusez moi, je ne l’ai pas fait exprès, je suis vraiment désolé, je vous ai mis tous vos paquets par terre »
Il dit ça tout en mettant sa main dans les cheveux les ébouriffant, comme s’il se grattait la tête,gêné et penaud d’avoir tout renversé. Tout d’un coup il se met à rire et là son sourire est enchanteresse, merveilleux, inoubliable, à tomber le cul par terre.
L’homme :
Il dit tout en rigolant et en remettant les paquets en ordre et tout en anglais : ( mais je traduis)
« c’est drôle cette situation, j’étais très pressé, et puis là je ne sais pas ce qui m’arrive, je me retrouve avec vous entrain de vous aider à ramasser tous vos paquets, (et en faisant un petit mouvement d’excuse en haussant les épaules) enfin

c’est normal je les ai fait tomber et je ne me souci même plus de mon Rendez vous, vous comprenez quelque chose à ça ? »
Moi :
« Euh et bien euh, non, euh, euh… » j’essayais de lui dire que je n’avais rien compris à ce qu’il me disait car je ne comprends pas trop l’Anglais vu que j’ai quitté l’école il y a longtemps et que je ne l’ai pas pratiqué depuis longtemps mais je n’y arrivais pas tellement il était beau avec son sourire et le son de sa voix d’un timbre grave que j’adore. Enfin je commençai à sortir un autre mot que « euh » et lui dit en anglais (souvenir de mes cours d’anglais d’écolier).
Moi :
« Sorry but I don’t understand, sorry I don’t speak english, sorry I don’t understand nothing » (je traduis : désolé mais je ne comprends pas, désolé, je ne parle pas anglais, désolé je ne comprends rien)
Lui , (apparemment il avait compris ce que j’avais dit en anglais) :
« Oh ! Sorry, sorry, I’m English, I don’t speak very well french, I believed you to understand english » (je vous traduis : Oh, désolé, pardon, je suis anglais, je ne parle pas très bien le français, je croyais que vous compreniez l'anglais).
Moi (accompagnant mes mots en basculant la tête de droite à gauche et vis et versa) :
« No, No, (Non,non) »

Et nous étions là comme deux imbéciles qui ne se comprenaient pas mais qui apparemment où le courant passait. Mon dieu ! Qu’il était beau ! je pensais, tout en le regardant, je du reprendre mes esprits car je ne pouvais pas rester là indéfiniment, même si je l’avais voulu, à le regarder. C’est lui en fin de compte qui démarra le premier et dit : (en anglais biensur mais là je traduis)
Lui :
« Je suis pressé malgré tout et je dois partir maintenant , mais puis-je vous inviter ce soir à dîner pour tout ça (en me montrant les paquets que je retenais à la main) » et « you understand I say ? » (vous comprenez ce que je dis ?)

Et moi je le regardais admirative, la bouche entre ouverte comme ébahi et je n’eus pas le temps de lui répondre que déjà, il me glissa un bout de papier dans ma poche et s’en alla sans d’autre explication ne me laissant même pas le temps de lui demander son nom. Je restai un moment avec mes paquets à la main, encore ébahi, je venais de rencontrer un bel homme et je venais de comprendre ce qu’il m’avait dit et j’avais un RV dans ma poche pour ce soir. Je courus vers ma voiture qui était garée trois rues plus loin et embarquai pour mon chez moi pour me préparer pour ce dîner. Lui était déjà loin me laissant à ma rêverie.
Je démarrai en trombe, me faisant klaxonner au passage, heureusement je n’habitais pas très loin car de nos jours il faut être en plein centre de PARIS, mon quartier : c’est « le MARAIS ».
Arrivée chez moi, je déballai tous mes paquets, petit haut turquoise avec des paillettes (très mode), chaussures assorties pantalon noir en crêpe, juste ce qui me fallait pour ce soir. Heureusement que j’avais fait mes courses, mon shoping comme ils disent ces Anglais. Je décidai d’essayer tout, tout de suite.
Humm umm mm, pas mal en me regardant dans le miroir, enfin ça me plaisait, de toute façon je ne le connais pas ce type pensais-je soudain, ça ira pour ce soir, je ne
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Blue57
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MessageSujet: Re: BLUE   BLUE Icon_minitimeMar 28 Juin - 17:03

oh c tro bien!!! sa change du style des otre et jtrouve sa genial! c tro bien Sy(si jpeu t'appelé par ton surnom sa te derangé pa ?) c kan la suite lol ?
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amandine
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MessageSujet: Re: BLUE   BLUE Icon_minitimeMar 28 Juin - 17:13

c trop fort jme languie la suite!!
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SYLVIE CORNET
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MessageSujet: blue   BLUE Icon_minitimeMar 28 Juin - 17:17

merci, merci, ça vient il faut le temps, je djà mi un morceau en plus. bon je vous fais plaisir je vais en mettre un autre morceau car la je vais débauché salut à toutes et bonne lecture. à demain. Embarassed Razz
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leeryanmybaby
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MessageSujet: Re: BLUE   BLUE Icon_minitimeMar 28 Juin - 19:19

C'est trop trop bien je vais la suite et Sy ;, tu pourré juste metr tt T chapiTr é non en plusieur morco paska la fin moi jmi per, G comenC par ex par le 4 èm chapitR lol !!!!
Chacha
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SYLVIE CORNET
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MessageSujet: BLUE   BLUE Icon_minitimeMer 29 Juin - 10:55

salut les filles je me suis trompé car j'ai mi la suite de la fic en plusieurs messages donc la suite viendra après que vous ayez lu ce que j'ai mi. regarder le forum et vous verrez qu'il y a plusieurs message au nom de SYVIE CORNET 1er CHAP BLUE - 2ème CHAP BLUE FANFIC - 3ème CHAP BLUE SUITE- et 4ème CHAP BLUE FANFIC SUITE je crois ; Bonne lecture et à bientôt la suite viendra après le 4ème chap. soit sur ce message la. bon be j'espère que vous avez compris merci encore de vos com KISS++
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SYLVIE CORNET
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MessageSujet: BLUE   BLUE Icon_minitimeMer 29 Juin - 10:59

re : j'ai oublié de vous dire que ça va se corcé car il va y avoir des scènes hérotiques et pour les moins averti je vous signale de ne pas être choqué; j'ai essayé sous les conseils de PAMOU (pour celles qui connaisse son blog, enfin je crois que vous le connaissez) j'ai fait une version plus soft. donc elle m'a dit de le mettre sur le forum de fbigroup plutôt que sur son blog, voilà, et j'ai commencé. bon be à+ SY
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SYLVIE CORNET
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MessageSujet: blue fanfic suite   BLUE Icon_minitimeMer 29 Juin - 11:22

bon be la suite dans l'ordre

chap 2


devais pas en faire de trop, pas trop d’un seul coup. C’est vrai que cet ensemble qui n’était pas un ensemble m’allait comme un gant, allure classe comme j’aime et simple à la fois, tout ce que je suis, pas trop branché, pas trop classique. Et je décidai que je mettrais ça pour ce soir.

Je m’allongeai un moment sur mon lit, voyons quelle heure il était ? Ah ! seulement 15 h j’avais encore le temps de me préparer, je pensais encore à ce garçon. J’avais eu le temps de voir qu’il avait les yeux bleus, des yeux magnifiques, grand et bien en amande, que c’était un homme jeune de 25 – 30 ans, plus jeune que moi mais ça ne me préoccupait pas, les cheveux blonds et courts avec des petites mèches devant les yeux et qu’il était bien habillé : veste classique noire sur jean clair, chemise blanche simple, comme j’aime, et qu’il avait une chaîne or où pendait une petite croix. J’avais tout vu du coup, en un coup d’œil et quel œil ! Je regardai l’heure et il était temps de se préparer.
Je me dirigeai vers la salle de bain ou je me pris un bon bain, bien chaud avec plein de mousse, pour me détendre et rêvasser de ses beaux yeux bleus qui me regardait avec un sourire à couper le souffle. Je restai un bon moment à rêver, mais voyons quelle heure se faisait-il et je sortis du bain je pris une serviette je l’entourai autour de ma taille et je courus réalisant que j’avais un mot qui m’attendait dans la poche de ma veste. Et donc je courus vers ma veste de cet après midi pour y prendre le bout de papier que le beau jeune homme anglais m’avait mis. Mais quelle idiote ! J’ai un rendez-vous et je ne regarde même pas mon papier qu’il m’a filé, alors voyons ce qu’il m’avait écri, hum hum hum ! C’était en anglais ! Mais je compris, quelle chance !
(je traduis)
le mot :
« Rendez Vous à 8 heure au bar de l’hôtel PLAZA ATHENEE , tendrement DUNCAN »
Hum hummmm, DUNCAN, tient, je sais maintenant comment il s’appelle, joli prénom, et je me le répétais DUNCAN, DUNCAN, DUNCAN, j’étais à moitié nue dans ma chambre, le mot dans la main, et maintenant je me le répétais dans ma tête D… D… D…, je repris mes esprits et passai aux choses sérieuses : la crème pour le corps au doux parfum de rose correspondant à mon parfum que je mettais en ce moment, déo, parfum encore, et maquillage pas trop ; faire simple pas évident quand on veut plaire et que l’on ne connaît pas. Puis je regardais l’heure et je vis qu’il était temps de s’habiller, ce que je fis soigneusement. Je mis une touche finale à ma tenue j’enfilai un bracelet dans les tons bleus et des boucles d’oreilles assorties aussi, mais pas de collier, je mis aussi ma bague de toujours et voilà enfin prête pour ce soir. Je regardai ma montre posée sur ma table de nuit, il était temps d’appeler un taxi. (et non je ne pris pas ma voiture)

J’arrivai au PLAZA ATHENEE, l’un des plus luxueux hôtels parisiens pas très loin des CHAMPS ELYSEES, je pensais : « Mais qui est ce jeune homme, il est anglais et en plus il a des moyens, qui ai-je rencontré ? » Enfin, je verrais bien, je me disais encore : « amuses-toi ma fille y a longtemps que tu ne l’as pas fait , euh va s’y molo tout de même, tu ne sais pas à qui tu as affaire ? »




Je venais de quitter le taxi et me dirigeai vers l’entrée de l’hôtel où déjà un certain nombre de personne investissait l’entrée. Je pensai : Mais c’est qu’il est fréquenté cet hôtel ? » Je finis par rentrer à l’intérieur, le hall de cet hôtel était splendide et je me dirigeai vers la réception pour demander où était le bar, je réalisai que j’avais oublié de me mettre une montre et demandai l’heure au réceptionniste qui me dit « Il est
8 h 05 mademoiselle, vous avez rendez-vous ? »
Moi
« Euh ! Penaude, euh ! Au bar lui soufflais-je »
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SYLVIE CORNET
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MessageSujet: blue resuite   BLUE Icon_minitimeMer 29 Juin - 11:23

chap 3

Il me montra de la main la direction à prendre et dit : « C’est par ici juste derrière vous » Je me détournai pour voir ce qu’il me montrait et je vis des gens prendre le chemin qu’il m’avait indiqué à coup sur ce devait être la salle où se trouvait le bar de l’hôtel. Je quittai la réception mon sac à la main et allai vers mon rendez-vous galant. Je venais d’entrer dans la salle où la porte n’existait pas, c’était comme une alcôve en retrait de l’entrée de l’hôtel sur la gauche. Elle était grande et feutrée, sur le côté se trouvait effectivement le bar qui parcourait tout le mur droit de la salle. Le bar était très moderne ainsi que les chaises hautes qui l’accompagnaient, de même que dans la salle les tables basses et les petits canapés étaient au diapason de ce soudain moderniste que j’appréciais beaucoup et qui contrastait avec le genre de l’hôtel.
Mais tout d’un coup mon cœur se mit à battre très fort, « je ne sais pas pourquoi ? »….Il était là !
Nos yeux se croisèrent, mon sang ne fit qu’un tour, « seulement un ? » Non deux, enfin, je ne pus détacher mon regard du sien. Quelle étrange impression ? je me demandais : « ça y est j’ai le coup de foudre », « allons allons calme-toi ma fille ce n’est qu’un homme ».
Il quitta le bar pour s’approcher de moi qui était rester planter (je sais, c’est pas bien) et plus il s’avançait plus je baissais les yeux et je me sentis flageoler et je me demandais soudain ce que je faisais là ? ! Il était tout près de moi, il me prit la main comme pour me faire un baise main et me demanda : (je devais faire une goule ! et dit en anglais biensûr) « tout va bien ? » Il déposa délicatement ses lèvres sur ma main.
Je lui répondis (avec une petite voix ridicule) :
Moi
« Oui,oui, yes yes»
Lui (faisant mine que tout allait bien)
« Vous voulez boire quelque chose ? »
Moi (je crois que j’en avais grand besoin)
« Oui, je veux bien »

Et il me fit avançer ne lâchant pas ma main qu’il tenait encore et on s’avança au bar. Il me commanda une coupe de champagne et lui un whisky sec.
Nous étions donc assis l’un à côté de l’autre sur ses grandes chaises étudiées pour les bars malgré tout assez confortable et lui, il me dévisageait de ses grands yeux bleus et me souriant de temps en temps. Nous ne savions pas trop quoi nous dire, je le regardais de côté comme j’étais à côté de lui, il avait vraiment un beau profil. Lui du coup il se mit presque de face, face à moi maintenant, le coude sur le bar et la main sur le côté de sa tête, et me regardait de face. Du coup je le voyais plus que

bien et ses yeux bleus encore mieux, qui me dévisageaient, un moment donné, je ne savais plus ou me mettre. Je me sentis rougir et je crois qu’il le voyait et aussi qu’il s’en amusait, il finit par me demander : « What’s your name, sorry (il souriait en me disant ça) I don’t know your name, me it’s DUNCAN JAMES and you (en se présentant, il avait mis sa main droite devant lui sur son poitrail en me saluant) (je traduis : Quel est votre nom désolé je ne vous ai pas demander votre nom, moi c’est DUNCAN JAMES et vous) Je compris donc ce qu’il me dit et lui répondis :
Moi (mais en français et un peu en anglais)
« Sylvie, (je ne lui donnai pas mon nom de famille alors que lui) enchanté, je suis désolé mais je ne comprends pas très bien l’Anglais, que de temps en temps, quelques mots simplement, de ce que je me souviens de mes cours d’anglais à l’école, car c’est loin, et je n’ai pas pratiqué l’anglais depuis, désolé. »
ç’a donnait ça « Sylvie, I’m find, I’m sorry, but I don’t understand very well english, some time, some words, that of I remember me of my english school, they are away, I don’t pratice english there are along time, I’m sorry »
Lui : (en anglais biensûr)
« ça ne fait rien, on va se débrouiller, et puis de vous regarder çà me suffit » (il me souffla et en français cette fois-ci) « vous êtes très belle »
Moi :
Je pensais : « quel charmeur ! je pouvais lui retourner le compliment »
Moi :
« Vous êtes de passage à PARIS ? » (dans mon anglais approximatif) ( et pour essayer d’entamer une conversation potable)
Lui :
« Oui, » puis hésitant un instant et se lançant quand même et se rapprochant de mon oreille me le disant à mi-voix « je suis chanteur, je suis avec mon groupe à PARIS ces jours-ci, on donne quelques concerts »
Moi : (étonné par ce qu’il venait de me dire) (enfin de compte je comprenais ce qu’il me disait en anglais enfin, jusque là) avec une voix un peu plus normal mais douce malgré tout avec un petit air étonné et tout bas comme lui :
« Chanteur ! »
Il dût le voir à mon visage car il me dit :
Lui : (un peu plus haut)
« Oui, (enfin) Yes, Yes, je suis chanteur, mais je n’aime pas trop le dire, mais à vous je peux le dire, n’est-ce pas ? Je fais partie d’un groupe (mais il ne me dit pas tout de suite de quel groupe il s’agissait pour le moment) il reprit : « je vous invite à venir me voir si ça vous dit ? »
Moi : (de plus en plus étonné)
« euh, euh, ! » Je bafouillais d’étonnement, enfin quoi, c’est pas facile pour moi, je rencontre un type de plus anglais, fort beau ma fois, et en plus il est chanteur et du coup peut être célèbre avec ça, et je ne devrais pas bafouiller ? ! Que d’émotion en une journée, je veux dire en une demi-journée. J’essayais de reprendre mes esprits. Je dis : (en anglais biensûr)
Moi :
Ne lui répondant pas tout de suite à son invitation je lui dit : « Vous faite quoi comme musique ? » Je m’étonnais à quel point mes souvenirs d’anglais remontaient à la surface de ma mémoire.
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SYLVIE CORNET
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MessageSujet: suite blue ffc   BLUE Icon_minitimeMer 29 Juin - 11:28

chap 4

Lui :
« Pop music, je vous ferais écouter si vous voulez » puis il regarda sa montre un gros bazar de chez je ne sais pas, enfin quelque chose comme une montre qui ne vient pas de n’importe où, si vous voyez ce que je veux dire. Il dit : « si nous y allions ? I’m hungry, and you ? » (je traduis : j’ai faim, et vous)
Moi : (au septième ciel)
« euh , oui, » et ma petite voix de petites filles recommança, c’est drôle mais j’ai toujours cette voix quand je tombe amoureuse enfin quand le mec me plait, c’est agaçant.

Nous quittâmes le bar et nous dirigeâmes vers la sortie de l’hôtel. Car nous allions dîner dehors je pense ? Car cet hôtel avait biensûr un restaurant mais il préféra m’emmener dîner à l’extérieur.

Il siffla une voiture stationnée pas très loin de l’entrée, et qui attendait et vint de suite se présenter devant nous. (je pensai que c’était sa voiture personnelle avec chauffeur, quel classe !). Il m’ouvrit la portière de la voiture, toujours très galant, et me demanda d’y monter, il se mit juste à côté de moi et dit au chauffeur de nous emmener à un restaurant que je connaissais de nom mais je n’y étais jamais aller car trop cher pour moi, c’était le restaurant de la TOUR EIFFEL. C’était grandiose, j’allais goûter au luxe et avec le prince charmant.

PARIS la nuit était magnifique, les lumières scintillaient comme des étoiles, la nuit allait être magique enfin je pense, en tout cas cela commençait plutôt bien. Ne pensez pas ce que vous êtes entrain de penser, non non, une inconnue avec un bel inconnu, non non, je resterai sage jusqu’à ce que j’ai fais sa connaissance et puis on verra bien, je ne sais pas encore si je lui plais, il m’a dit que j’étais très belle, enfin il a exagèré, ouai mais bon il est peut être fiancé, et puis il m’a juste invité à dîner pour s’excuser c’est tout, pas pour me draguer, enfin je suis un peu innocente, vous devez vous dire ? non non, je sais ce que je dis ce que je pense, oui oui, il est très beau, enfin je trouve pour moi, mais c’est pas une raison pour lui sauter dessus, restons correcte je vous prie. Je sais on est à PARIS la ville des amoureux on dit ? et bien non je resterai sage je vous dis, na !

Nous arrivâmes au restaurant, PARIS avait défilé devant mes yeux tout en regardant mon prince charmant qui lui ne me quittait pas des yeux enfin je crois.
Nous montâmes par l’ascenseur de la TOUR EIFFEL toute éclairée et magnifique comme d’habitude, cette grande dame de fer, représentant la grandeur française. J’étais fière de montrer à un anglais cette merveille française que biensûr tout le monde connaissait ainsi que lui apparemment ? Pendant que nous montions à l’étage il me regardait tout en me souriant, soudain il fit une attitude auquel je ne m’attendait pas, il me mit son bras sur mon épaule comme pour me protéger du soudain vacarme que faisait l’ascenseur. Je le laissai faire et Je me sentis soudain rassurer par ce bras sur mon épaule et cette main qui caressa un instant mes cheveux longs bouclés sur mes épaules. Comme il était tendre d’un coup, je me sentis rougir, et je lui souriais à mon tour intimidé quand même par son geste, magré la femme que j’étais, mûre et afirmée et indépendante. Nous fûment à l’entrée du restaurant où un couple s’apprêtait aussi à y pénétrer, nous attendîmes

que le maître d’hôtel s’adresse à nous et quelques secondes après il se dirigea vers nous et nous demandâmes si nous avions réservé. DUNCAN parla anglais biensur et lui dit qu’il avait réservé pour deux et dans un coin intîmes du restaurant. Le maître d’hôtel bilingue lui répondit dans un anglais très correct et nous invita après avoir vérifié sur sa liste, à le suivre. Effectivement, notre table était bien réservé et était dans un coin retiré très intîme et face au Champs de Mars, une vue magnifique.

Nous nous installâmes donc et le maître d’hôtel nous présenta la carte. Je regardais Duncan qui consultait la carte, je le trouvais vraiment beau, il aurait pu faire du manquina je baissai aussitôt les yeux sur la carte des menus quand il releva les siens pour me regarder à son tour. Je crois que j’avais rougi, et J’avais l’impression que l’on jouait au chat et à la souris. Il remit ses yeux sur les menus et me demanda ce que je voulais manger. Enfin de compte je ne savais pas quoi prendre, il y en avait tellement sur cette carte. Je lui demandai de choisir pour moi, je me fichais si je n’allais pas aimer ce qu’il me commanderai enfin de compte je n’avais pas très faim. Il me semble que je devenais amoureuse et ça ne me plaisait pas du tout finalement. je me mis à penser que je ne le connaissais pas plus que ça mais que ça beauté y était pour quelque chose, j’avais rarement vu un si bel homme et les beaux hommes ne m’invitait pas plus que ça, je veux dire pratiquement jamais. Mais que m’arrivait-il donc ? Je vous avoue franchement que je n’y comprenais rien mais je pensai que je devais prendre le bon temps qui m’était offert et de profiter de cette soirée qui me sera sans doute inoubliable ? Il me sortit soudain de ma rêverie avec sa belle voix grave qui me fit un peu sursauter et j’eu peur qu’il s’en apperçoive car il me dit : (et tout en anglais biensûr)
Lui
«Je vous ai fait peur ? »
Moi
« No, no » piquant mon far « no no » et détourant la remarque, moi en français et baffouillant quelques mots d’anglais, « vous m’avez choisi quoi svp »
Lui (fronçant les sourcils interrogateurs mais répondit galamment à ma question et toujours en anglais):
« des aiguillettes de langoustes avec une sauce aux truffes, vous verrez c’est très bon » il me dit tout ça accompagné de son sourire ravageur qui ravageait plutôt mon cœur. Il me montra la carte pour que je comprenne ce qu’il m’avait choisi. Je lui dit en mi-français et mi-anglais :
Moi
« Et bien si vous le dîtes, ce sera très bien » en lui renvoyant son sourire. Et je regardai ma carte pour voir de quoi était fait ce plat. Je vis qu’il était accompagné de petits légumes, ce qui me convint très bien au cas où je n’eu aimé la langouste aux truffes. Je ne lui dis pas biensûr. De tout façon je n’avais pas très faim.
Il commanda le vin qui lui fut conseillé par le sommelier et me demanda avant si j’en buvais et si j’en voulais avec mon repas. Biensur que oui j’en voulais, une française voyons ça si connaît en vin enfin moi j’aime bien de temps en temps biensur.





voilà c'est bon , j'ai tout compris comment il fallait faire. bonne lecture laché vos commentaires. a+SY
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MessageSujet: BLUE   BLUE Icon_minitimeVen 1 Juil - 16:27

suite fanfic
chapitre 5

Le maître d’hôtel qui s’occupait de nous, nous demanda si nous avions terminé notre choix, Duncan lui répondit que oui et lui tendit les cartes de menu et notre serveur prit les cartes et nous laissa seul pour le moment jusqu’à l’arrivée de notre plat. Je remarquai que nous ne prîmes pas d’entrée, et pensai que l’on verrait plutard pour le dessert. DUNCAN ne me proposa rien d’autre pour le moment.

Quelques secondes après, Duncan adopta une position cavalière, les coudes sur la table et les mains posées sous son menton il me regardait l’air amusé. Je lui demandai ce qu’il avait et me dit que ma frimousse l’enchantait et se demandait bien
quel âge je pouvais avoir et s’excusa aussitôt car pour quelqu’un de bien élevé un homme ne demande pas ça à une femme.
Mais seulement je ne m’en offusquais pas car j’étais quelqu’un de simple et moderne et mon âge à l’époque actuelle ne me souciait pas, il faut dire que beaucoup de personne me disait que je ne faisait pas mon âge et j’avais toujours beaucoup de mal à les croire mais à l’hunamité beaucoup me le disait alors l’âge du coup je ne m’en souciais pas. Et je lui dit tout de go (en anglais cette fois ci):
Moi
« J’ai 46 ans et vous ? »
Il ouvrit la bouche, l’air bouche bé, apparamment lui aussi devait trouver que je faisais plus jeune, et me dit biensûr que je ne faisais pas mon âge et qu’il était loin de s’imagniner que j’avais 46 ans, il me donnait tout juste 30 ans, au environ de 30 ans mais là, 46 ans il était soufflé. Il me demanda quel était mon secret pour paraître aussi jeune, je lui répondis aussitôt que je n’avais aucun secret , à part peut être celui de famille, car dans ma famille ont fait tous plus jeune que son âge. Je coupai court l’intervention sur mon âge car cela m’agaçait mais je ne lui fis pas voir et lui demandai le sien. Il me dit qu’il avait 25 ans, effectivement il était jeune, même très jeune. J’eu un moment de silence qu’il rompit en appercevant notre serveur nous apporter notre plat. Il me souffla : (en anglais biensur)
Lui
« j’ai faim pas vous ? »
Moi
« Euh , oui, » enfin de compte l’appétit me venait petit à petit.

Et quand le serveur nous déposa notre assiette devant nous et nous servit tout ce qui agrémentait notre plat ainsi que le sommelier qui nous servit le vin Duncan me sourit et attendit que je démarrai une bouchée de mon plat. Lui, avait prit une viande saignante accompagnée de légumes et d’une sauce mit à part. Il était vraiment très bien élevé je pensais, lui qui avait finalement très faim. Il attendait que je goûte à mon plat ce que je fis, ma fois c’était très bon et je lui tendit la main vers son assiette pour lui dire qu’il pouvait à son tour commençer à manger. Que de galantrie entre nous, ça m’amusait finalement ce petit jeu. Je dégustais mon plat avec délicatesse qui était excellant, je le complimentai sur son choix et pensais-je qu’il avait bien choisi et qu’il devait être habitué. Lui avait commencer à découper sa viande et s’enfournait une bouchée dans sa bouche, au moment que je lui dis ceci il secoua la tête de bas en haut pour me remercier du compliment que je venais de lui faire, car il ne pu évidemment pas me répondre par la parole. Sa bouchée une fois avalée il s’essuya la bouche avec sa serviette de table et but une gorgée du vin rouge qui avait été servi et secoua de nouveau la tête démontrant qu’il apprécia

l’excellent vin de maître qui nous avait été servi et qu’il avait commandé. Il m’invita à en boire aussi se que je fis et c’est vrai que le vin était d’une voluptée comme cette soirée que je voudrais que jamais elle ne finisse. Duncan me laissa terminer mon repas et fit de même il entâma une conversation en mi-anglais et mi-français. Il me demanda se que je faisais comme métier et je lui répondis dans le même langage que j’étais artiste peintre à temps partiel comme je disais souvent aux personnes qui m’interrogeait la dessus, que j’étais une artiste peintre non reconnue mais que je m’efforçais de persévérer et que peut être qu’un jour on reconnaîtrait mon talent d’artiste. Pour le moment je travaillais mes peintures et je m’occupais aussi d’une petite gallerie implantée dans le quartier du MARAIS là où justement j’habitais mais je ne lui dit pas. Il était visiblement impressionné et étonné par ce que je venais de lui dire. Il me dit finalement que nous étions tous les deux des artistes et ça lui plaisait bien que j’en sois une aussi. C’est bien connu les artistes on la sensibilité à fleur de peau et ressentent les choses différemment. Lui c’était dans le domaine de la musique et moi dans le monde merveilleux pictural. Nous étions fait pour ainsi dire, pour nous entendre. Nous nous découvrîmes des points communs, notemment en musique mais aussi dans nos goûts et nos couleurs. Sauf que lui ça couleur préférée était le rouge et moi le bleu ce qui le mit la puce à l’oreille en entendant ma couleur préférée (car c’était le nom de son groupe) mais il n’en dit rien et nous continuâmes à nous raconter. Je lui dis que je faisais partie d’une grande famille que j’avais trois sœurs et trois frères et beaucoup de neveux et nièces avec lesquel je m’entendais très bien. Et que je n’avais plus mes parents. Lui ne connaissait pas son père et avait un frère et une sœur mais qui n’étaient pas de sa mère. Il me raconta qu’il était très proche de sa mère et que s’il était devenu chanteur c’était pour venger sa mère qui n’avait pas pu faire une carrière dans la chanson. Elle avait écrit un livre sur eux deux tout simplement, depuis que lui était devenu une célébrité avec son groupe et que les journalistes racontaient tout et n’importe quoi sur lui, alors pour remettre les choses en place sa mère avait eu la bonne idée de raconter qui il était et non celui que l’on racontait dans la presse britanique et ailleurs.
Je l’écoutais me raconter tout ça et je me demandais que finalement la célébrité n’était pas si bien que ça et que quelque part il devait en souffrir. J’osai lui demander s’il avait une fiancée et me dit que non car sa carrière ne lui permettait pas d’avoir une relation sérieuse en ce moment et que c’était difficile pour les femmes qu’il rencontrait d’être avec lui, qu’il avait simplement des flirts. Il avait bien eu une relation sérieuse mais que c’était terminé et qu’il en avait eu gros sur la patate de s’être séparé d’elle. Visiblement il en était encore amoureux mais ne s’étala pas plus loin sur ses sentiments avec cette personne. Je respectai son silence et je changeai de conversation, il se faisait plus de 11 h et j’étais vraiment bien avec lui à discuter de chose et d’autre, de nous.
Nous en étions encore au café quand il me demanda si je voulais autre chose. Je lui dis que non et me demanda encore :
Lui
« Voulez-vous que l’on s’en ailles ? »
Moi
« Euh si vous le voulez ? » lui répondis-je.
Lui
«Et bien je vous invite à quitter cette table et permettez moi de vous racompagner chez vous »

Moi
« Euh, oui » de ma petite voix qui revenait tout d’un coup.
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MessageSujet: Re: BLUE   BLUE Icon_minitimeVen 1 Juil - 18:39

moi jdr vraimen bcp vite la suite! moi jmen fou ke sa soi vraimen érotik sa raconte just la realité des choz, de la vie lol, jpense ke c sur ke se soi plu erotik ke les otre puisk ka tu as l'experience Wink
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MessageSujet: BLUE fic suite   BLUE Icon_minitimeLun 4 Juil - 11:51

Salut, alors je crois donc que je peux mettre la version réelle, ben ok va pour la suite et dans sa normalité de ce que j'avais fais SALUT à toutes et bonne lecture.
SY

CHAPITRE 6

Nous quittâmes le restaurant et DUNCAN siffla un taxi car sa voiture avec son chauffeur n’était pas là à nous attendre. Je me demandai qui pouvait bien être cette voiture avec chauffeur que nous avions emprunté pour venir ici ? Je me fis la promesse de lui demander plus tard si biensur nous devions nous revoir. Et le taxi nous emmena en direction du MARAIS là où j’habitais. DUNCAN me regardait le bras par-dessus mon épaule et me souriait, il était plus détendu que moi et il tortillait une mèche de mes cheveux qui reposaient sur mes épaules. En silence nous nous laissâmes nous conduire respirant chacun notre parfum étant serré l’un contre l’autre mais sans plus. DUNCAN, même si je sentis qu’il en avait envi, ne m’embrassa pas et me laissa tranquille se contentant de me sourire galamment. Il me regardait de temps à autre et regardait défiler PARIS à travers la vitre de la voiture.
C’est son profil que je vis pour la dernière fois avant longtemps qui resta graver en moi à cet instant précis alors que la voiture s’arrêtait devant chez moi. Il descendit du taxi j’en fis autant, il demanda au taxi d’attendre quelques minutes, je me dirigeais vers ma porte de maison, DUNCAN m’avait suivit et me serra la main avec douceur et délicatesse comme un gentleman savait le faire et me souhaita bonne nuit. Je sentis un petit papier se glisser dans ma main que je serrai soudain, alors que lui déjà s’apprêtait à remonter dans la voiture. Je regardai vers la voiture où par la fenêtre DUNCAN me souriait et me fit un petit signe de la main pour me dire au revoir. Je restais là un moment regardant la voiture s’éloignée et sentant le papier au creux de ma main.
Je dû reprendre mes esprits et machinalement je sortis ma clef, j’enclanchais dans le barillé celle-ci et je finis par entrée chez moi, le papier de DUNCAN dans ma main.

Une fois rentrée chez moi je posai mon sac sur ma table de salon et regardai ce qu’avait bien pu m’écrire DUNCAN ? Je m’assoyais dans mon canapé et la bouche ouverte d’étonnement, je lus : « 06 .. .. .. .. , mon numéro de portable personnel, appelé moi quand vous voulez, DUNCAN »
La main devant la bouche je me mis à sourire soudainement, il m’avait laisser son numéro de portable personnel, cela voulait-il dire qu’il désirait me revoir ? Alors comme ça je lui plaisais ? hummm ! je n’y croyais pas moi même ! Il était si jeune, je ne savais pas quoi en penser. C’est vrai qu’il me plaisait beaucoup et que son âge n’était pas une barrière pour moi. Il avait l’air cultivé malgré tout pour son âge et je me foutait du quand dira t-on, la vie est trop courte pour ne pas la vivre pleinement, (j’appris plus tard que cette phrase lui même l’avais employé dans un interwiew, enfin quelque chose comme ça). Je mis le papier dans mon sac et j’allai me préparer pour la nuit.

J’étais dans la salle de bain, habillée de ma nuisette rose entrain de me démaquiller et je pensai que je ne lui avais même pas laisser moi même mon numéro de téléphone que cela ne m’étais pas venu à l’idée. La seule chose auquel j’avais penser c’est que c’était donc un artiste visiblement très connu et que mes chances de le revoir après cette fabuleuse soirée était de zéro sur un milliard. Et voilà qu’il m’avait laisser son numéro de portable ! Je n’en revenais pas encore, j’allai dans la cuisine me servir un verre d’eau, je m’en reservi un deuxième et je l’emmenai dans ma

chambre ainsi que mon petit sac où le fameux papier y était glissé. Je me couchai finalement et ne touchai pas au fabuleux petit mot qui me faisait soudain briller les yeux et faisait apparaître au coin de mes lèvres un sourire de satisfaction inattendu.

Une semaine plutard, ma vie repris le cour de son temps, je casai le numéro de DUNCAN quelque part dans un carnet d’adresse téléphonique placé dans un tirroire de mon meuble de salon. C’est alors que je décidai d’oublier un instant le magnifique jeune homme qui m’avait si gentiment invité pour s’excuser de m’avoir bousculer sur les Champs Elysées.
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MessageSujet: SUITE FIC BLUE   BLUE Icon_minitimeLun 4 Juil - 11:53

CHAP 7

Sur cette avenue j'y repassai des fois et des fois dans les deux mois qui passèrent et à chaque fois j’avais le souvenir de cette rencontre qui me faisait rire et sourire, mais il fallait penser à vivre et à continuer de vivre comme si de rien ne c’était passé. C’est vrai, j’avais toujours le numéro de téléphone mais à chaque fois que j’ouvrais le tirroire, je pensais à ce mot et ma main hésitait à le prendre et ma main se retirait car je me disais en moi même, quel avenir je pouvais avoir avec lui ? Il était chanteur et célèbre et moi « une femme parmis tant d’autre, peintre non connue et française et rien de rien enfin presque, alors, alors j’avais passer une très belle soirée et je ne devais pas aller plus loin c’est tout.
Un après midi de ce mois de juillet, Je décidai quand même d’aller à la FNAC pour aller découvrir si je n’y voyais pas mon chanteur dans les CD de groupe pop, car celui-ci ne m’avait pas dit le groupe dans lequel il était chanteur, seulement qu’il faisait de la POP MUSIC.
J’arrivais dans le rayon de cd de pop-mucic international, il y en avait un paquet, je me m’y à la tâche car je ne savais pas par où commencer, et donc je me m’y à consulter en démarrant par la lettre A mais rien, je ne vis pas mon DUNCAN sur aucune des pochettes de groupe ou chanteur s’appelant par la lettre A je dicidai de passé à la lettre B, et en arrivant à la lettre B, BA, BB, BC, Bd etc, jusqu’aux lettres BL où je découvris plusieurs pochettes de disques appelées BLUE. Là je constatai, qu’il y avait deux groupes qui s’appelaient BLUE, je détaillai les pochettes et sur l’une d’elles je vis mon DUNCAN accompagné de trois autres jeunes hommes tout aussi beaux les uns que les autres. Je pensai : « Donc DUNCAN faisait partie du groupe BLUE ». Je vis qu’il y avait deux albums d’eux (ONE LOVE et GUILTY) et décidai de me les acheter. Le nom de BLUE me disait quelques choses, il me semble que je les avais déjà entendu et vu à la télévision, c’est vrai que c’est temps-ci je ne regardais pas beaucoup la télé, avec mon travail et la gallerie qui me prenait tout mon temps. Je ne me souciais pas de regarder les programmes télévisés, j’écoutais pourtant la radio, enfin ? Je pris donc le soin de m’approprier les albums que je ne connaissais pas et je décidai d’aller vers une borne d’écoute pour entendre de quoi il en retournait. En entendant une de leurs chanson, « SORRY SEAM TO BE THE HARDEST WORD » une chanson chanté en duo avec ELTON JOHN m’éclaira de suite sur le groupe dans lequel chantait DUNCAN. Effectivement, j’avais déjà entendu et vu le groupe chanté à la télévision. (alors là vous aller vous demander comment ça ce fait qu’elle n’est pas reconnue DUNCAN, attendez ! attendez ! je vous dis que c’est de la fiction, et puis je ne suis pas sensé reconnaître une personne qui vous bouscule et qui est sorti de son contexte habituel, en locurance la chanson). Je me remis à écouter une chanson et je tombai sur « ONE LOVE », en fin de compte la musique me plaisait bien, elle était entrainante et branché, j’ai toujours aimer la pop qu’elle soit anglaise ou française ou américaine. Pour tout vous dire j’aime tout ce qui est

branché et actuelle, je vis avec mon temps, présent futur, je me fou des qu’en dira t’on, alors les BLUE ça me plaisait beaucoup, mais bizarement la musique du groupe BLUE m’était inconnue, à part la chanson avec Elton John que je connaissais. (vous allez me dire « alors c’est quoi que tu écoutais ? » Et bien tout mais pas les BLUE en particulier.) j’écoutai aussi le deuxième album que j’avais entre les mains, je sus plus tard que c’était leur troisième alblum.
J’allais vers la caisse mes deux albums en main (j’appris plus tard qu’il y en avait un troisième (leur premier « All Rise »)) quand je décidai d’aller regarder les DVD pour voir ce qu’il y avait, soit en musique ou en film et qu’elle ne fut pas ma surprise ! Mis en bonne place dans le rayon parmis tant d’autres artistes, deux DVD des BLUE. Je vis un coffret et un DVD, l’un d’eux était intitulé « ONE LOVE LIVE TOUR » et l’autre « CLOSE TO BLUE ». Je m’empressai de les prendre et de mieux regarder les pochettes. Je vis donc DUNCAN et les autres membres du groupe qui étaient biensûr en couverture, mais qu’il était beau, mais qu’il était beau, je pensais tout à coup. J’étais là, à admirer les pochettes des DVD quand un vendeur du magasin s’adressa à moi : « vous voulez que je vous aide, je vois que vous êtes embarrasser, vous savez, vous avez des paniers à votre disposition, en voilà un si vous voulez ? » Je le regardai et le remerciai de sa gentillesse et mis tous mes achats dans le panier qu’il me tendit. Il vit ce que je venais d’acheter et me dit : « vous aimez les BLUE vous alors ! C’est pas mal, si vous êtes fan vous avez aussi le single qui est sortie « BUBBLIN » avec les LINK UP le rayon est un peu plus loin » Je me demandai : « C’est qui les LINK UP, de quoi il me parle » et je lui dis : « merci, je vais aller voir » Puis il partit, en me faisant un grand sourire. Je me dis « Humm , humm, toi tu plais aux jeunes ! » Alors les LINK UP avaient chanté avec les BLUE, (je sais vous allez penser : « elle est au courant de rien » mais si, mais là c’est une fiction bon je reprends). Je me dirigeais vers le rayon cd single et je cherchai dans le bac réservé au B et je vis mes BLUE et effectivement sur la pochette il y avait d’autre garçon qu’eux, ce devait être les fameux LINK UP. Je vis aussi qu’il y avait un autre single de BLUE que je pris aussi. Et là je me rendis compte que je devenais complètement fan. Enfin, j’allai payer tous mes achats, je m’en sortis pour une somme rondelette mais tant pis, je voulais découvrir qui était DUNCAN et qu’est ce qu’il chantait, du coup je crois que j’avais tout pris enfin une partie, le concernant lui et son groupe. Je m’en retournai chez moi et là je pris le temps d’écouter sa musique, enfin ! la musique des BLUE. Je commençai par écouter les singles, et effectivement j’avais déjà entendu BUBBLIN à la radio il n’y a pas si longtemps mais je n’avais pas fait attention au nom du groupe et pourtant la musique me plaisait bien. Puis ce fut au tour du second single, et ONE LOVE me fit penser à DUNCAN et à notre soirée magique. Je mis sur la platine l’album GUILTY et me délectai de leur musique que je trouvai forte interessante et à mon goût, ma fois tout aussi branchée que d’autres musiques pop qui se déversent parfois dans la radio. Il était plus de cinq heures du soir mais tant pis je me passai un DVD : « CLOSE TO BLUE » et là jus un pincement au cœur de bonheur, il était là devant moi, enfin dans ma télé et je me délectais de l’entendre chanter et aussi parler car j’écoutai tout, pas seulement le concert qui y était diffusé mais l’interwiew. Humm ! Que c’était bon de réentendre ça voix. Je finis par un concert d’eux à wembley un dvd qui faisait partie du coffret intitulé « ONE LOVE LIVE TOUR » où je compris que quand même ce n’était pas un simple petit groupe de chanteur anglais appelé souvent boysband mais c’était avant


tout un groupe à part entière et un sacré bon groupe. Mais comment ce fait-il qu’on n’entendait pas plus leur musique que ça en France ? ? ?
(vous verrez plus loin que je me suis aussi acheter le premier album et le premier dvd)
Je finis par avoir envie d’aller me coucher après avoir consommer un petit dîner. J’allai me d’hésabiller et me démaquiller et me glissai dans mon lit où je commençai un rève des plus audacieux que je fis de ma vie.

Le lendemain il fallut se réveiller et je commençai par me mette un cd des BLUE et fis ce que je devais faire et me préparai un délicieux petit déjeuner. Nous étions dimanche et presque midi et comme tous les dimanches je prenais mon temps et je décidai que ce dimanche je n’allais rien faire du tout à part écouter les BLUE, Les écouter et les regarder.

La journée se passa cool, et un autre lendemain s’annonçait à l’horizon.

En cette fin du mois de juillet et ce début du mois d’août, je décidai de les passer dans ma famille en province, « le POITOU-CHARENTES », car j’avais trois semaines de vacances et je voulais en profiter pour me délasser du contexte de PARIS si bouillonnant hiver comme été. Je ne pouvais oublier cette aventure enfin cette superbe soirée mais je compris qu’il fallait me détendre et m’amuser et vivre tout simplement et j’avais la chance d’appartenir à une grande famille. Ainsi je pouvais aller voir mes nièces et neveux ou ma meilleure amie et prendre du bon temps en allant à la mer avec elle et me faire bronzer au soleil de l’été qui était commencer depuis longtemps.
Un arpès midi de Juillet 2004, J’étais allongé sur le sable d’une des superbes plages de ROYAN ville balnéaire très côté sur la côte Atlantique, alors que ma meilleure amie à côté de moi était en train de me raconter ses aventures amoureuses avec son fiancé du moment, un black qu’elle avait rencontrée et dont elle était tombée éperdument amoureuse. Je l’écoutais sagement me débiter ses péripéties galantes et sexuelles et la façon comme elle le disait nous faisait éclater de rire toutes les deux. Elle me faisait rire avec ses explications sur la façon dont celui-ci lui faisait l’amour et la manière comme il s’y prenait. Le coup où elle s’était retrouvée le cul dans le lavabo, et qu’il avait fait ça, c’était trop drôle. Je l’écoutais tout d’un coup que d’une oreille et mon esprit s’évada sur une image qui me tenaillait et me fit un pincement au cœur et une douleur légère, une sensation de désir au bas du ventre, les fameux papillons que décrit JESSICA PARKER dans le feuilleton SEX and the CITY. Cette image, c’était celle de DUNCAN avec son beau sourire et ses faussettes à peine visible, un sourire légèrement coquin, ses beaux yeux bleus en amandes. Mon amie me cria : « Sylvie Sylvie, tu dors ? » Moi, je me levai d’un seul coup et je la regardais pour lui dire non et lui demandai : « si nous allions nous baigner », Elle me dit oui et nous allâmes nous prendre un bain de mer bien mérité car la chaleur commençait sérieusement à nous chauffer le cuir, mais je ne lui dis rien de mon rève éphémère.
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MessageSujet: suite fic BLUE   BLUE Icon_minitimeLun 4 Juil - 12:00

pour celle qui aiment lol!
CHAPITRE 8

La fin de l’après midi arriva et mon amie et moi retournâmes à NIORT car mon amie n’était pas en vacances comme moi et donc nous ne pouvions pas rester sur ROYAN. Nous reprîmes donc le chemin du retour, je conduisais comme d’habitude car Mon amie elle ne conduisait pas et nous mettâmes les BLUE à font la caisse dans la voiture, j’avais fais découvert à mon amie la musique des BLUE et elle les appréciait aussi beaucoup et c’est au son des BLUE que nous parcourûmes les 110 km qui nous séparaient de notre ville natale. Arrivée à bon port, nous nous préparâmes pour notre soirée chacune de notre côté. Mon amie habitait toujours son appartement qu’elle avait savamment bien arrangé, avec goût et personnalité, moi j’étais descendu chez une de mes sœurs qui habitait une grande maison à Aiffres, à 6 km du centre ville de NIORT. Comme je n’habitais plus NIORT la ville où je suis née, et où une grande partie de ma famille résidait, j’étais donc invité à chaque fois par ma sœur. Je pris une douche, je m’habillai et me coiffai, me maquillai et je repartis chez ma meilleure amie avec laquelle je m’amusais trop bien et où je pouvais discuter avec elle de chose et d’autre et de petite chose coquine qui nous faisait bien rire et aussi et surtout pour parler des BLUE que je lui avais fait découvrir.
Nous restâmes un bon moment à prendre l’apéritif, un ou deux verres de rosé bien frais avec des crevettes roses que nous adorions déguster, (et qu’on aime toujours). Au fil de la musique des BLUE que nous diffusions à boucle fermer, mes pensées une nouvelle fois m’emportaient dans un nuage de rêve où DUNCAN était présent et où il m’enlassait langoureusement dans ses bras musclés ma tête posée sur son torse (que j’adore). Je dansais dans ses bras et je ne me lassais pas, soudain un : « Sylvie qu’est que tu veux manger » je soucouai ma tête de gauche à droit et mon amie crut que je ne voulus pas manger je lui répliquai aussitôt, un si si, ce que tu voudras, elle me dit, « des tomates ça te va avec un avocat moi j’ai pas très faim et toi » moi : « euh ! comme tu veux c’est très bien des tomates moi non plus j’ai pas très faim » et la soirée continua son chemin qu’à un cas à, toujours au son des BLUE.

Après un instant de réflexion, je me décidai de raconter à ma meilleure amie ce qui m’était arrivée. Je lui racontai tout, la bousculade sur les Champs Elysées, la soirée fabuleuse passé avec DUNCAN et son mot de départ que je gardais comme un trésor au fond de mon tirroire. Elle me dit que elle, elle aurait appelé et convenu d’un rendez-vous, mais moi je lui répétais qu’est ce que je pouvais espérer d’un artiste et de plus est, célèbre, et en plus anglais. Je ne voulais pas gâcher le souvenir des instants délicieux passés à cette soirée et me ramasser par un vulguaire oublie en lui téléphonant et qu’à l’autre bout du fil il m’avait déjà oublié, même si ce soir là il m’avait laisser son numéro de téléphone portable personnel. Je sais je peux toujours rêver mais je ne suis pas trop idiote et je suis peut être fière, mais je tiens à ma fièté, au respect de moi même, être femme c’est toujours très difficile, même quand on a 40 ans, la vie ne m’avait pas fait de cadeau et je me méfiais toujours des amours sans lendemain, et surtout des amours aussi célèbre que ça. Alors non, je ne l’avais pas appelé et je crois que je ne l’aurai jamais fait, si !







La fin de mes vacances approchait et je dû regagner PARIS et ses turbulences habituelles qui changeaient du calme provinciale dans lequel je fus baignée pendant mes jours de repos.

Je voulus encore en savoir d’avantage sur DUNCAN et son groupe BLUE. Je me mis à la table d’un CYBER CAFE et je me branchai sur internet en allant découvrir leur site qui était inscrit sur leur pochette de disque. J’imprimai OFFICIALBLUE et là je vis en visuel tout le groupe, biensûr c’était tout en anglais et je dûs me mettre à l’évidence que je ne comprenais pas tout, mais je lus quand même quelques articles et compris à deux mots ce qui était écrit. Mais c’est en allant sur des sites français que je compris toute leur histoire. Je vis toute leur biographie et leur vidéographie et c’est ainsi que j’allai m’approprier le troisième album qui me manquait ainsi que le dvd, c’est à dire leur début.
Je retournai chez moi et une vie nouvelle s’annonçait à moi, une vie avec les BLUE et un peu plus avec DUNCAN, une vie en virtuelle. Mais ? !

Enfin, le mois d’août n’était pas encore finit et moi, je repris le cours de ma vie, mon petit train train quotidien, atelier, gallerie. Heureusement la gallerie ‘’marchait’’ bien, j’avais toujours des nouveaux venus, des jeunes peintres, artistes en tout genres, qui m’apportaient leurs oeuvres qui se vendaient finalement comme des petits pains. Moi je m’exerçais aussi à améliorer mon talent mais je ne désirais pas exposer pour le moment. J’en étais qu’à mon dixième tableau et c’était plutôt maigre pour faire une exposition solo, alors je me disais que j’avais le temps et que j’exposerai une fois que j’aurai une palette suffisante de mes œuvres et que je serais prète pour le grand jour.

La fin de l’été passa et ma vie banal se poursuivait lentement quand le 15 septembre au soir là où je m’y attendais le moins, on sonna à ma porte.
Quel ne fut ma surprise quand j’ouvris la porte : DUNCAN était devant moi un petit bouquet de roses roses comme je les aimais, il avait son sourire d’ange comme d'habitude et il me demanda s’il ne me dérangeait pas. Moi béate je baffouillai en mi-anglais mi-français un entrée je vous en pris et un non non vous ne me déranger pas, et quel bon vent vous amène à PARIS. Ça y était je me sentais rougir encore une fois, je crois qu’à chaque fois que je le voyais, ça devenait une habitude ? J’étais pourtant une femme avertie avec les hommes, enfin je le pensais, mais avec celui-là je pense qu’il me faisait craquer et que sa séduction naturelle me faisait perdre mes moyens.

Il rentra et m’offrit le bouquet de roses, je le remerciai de son attention et je le priai de venir jusqu’au salon où je lui demandai avant toute conversation s’il désirait prendre quelque chose, un alcool ou un jus de fruit ou autre chose. Mais il me dit avant toute chose et avec sa voix qui me transperçait le cœur quand je l’entendis me prononcer ce qu’il était venu me dire : « je n’ai pas cessé de penser à vous
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MessageSujet: Re: BLUE   BLUE Icon_minitimeMar 5 Juil - 0:55

oh j'adore trop ça me change des autres fiction c'est tro bien!!!!!
il me faut vite la suite! je crois bien que je suis accro
franchement j'adore et puis aussi sincerement chapeau c'est tro bien lol
je crois que je me repete mais on va dire que c'est pas grave lol
bisous
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MessageSujet: BLUE   BLUE Icon_minitimeMar 5 Juil - 16:17

je vois que personne ne s'interresse à la fic alors ? que dois-je faire ? je met la suite où pas, car la ça va être interressant Embarassed Razz hum hum donnez moi votre avis , j'attend de vos réponses pour celles qui lisent salut sunny salut
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MessageSujet: Re: BLUE   BLUE Icon_minitimeMar 5 Juil - 17:07

ben moi j'aimerais bien la suite, maintenant que je suis a fond dedans ça serai cool de la mettre Mr.Red
kiss
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MessageSujet: BLUE   BLUE Icon_minitimeMer 6 Juil - 17:33

suite de la fanfic lol!
chapitre 9

Il repris son souffle, car il avait quand même un brin de timidité ou un certain respect pour la femme que j’étais, l’âge peut être, et ce qu’il avait à me dire n’était peut être pas facile pour lui, mais il continua tout de go :« et j’aimerai si vous le désirez, entammer une relation avec vous ». Heureusement que le canapé était derrière moi car j’étais pas loin de m’évanouir à l’annonce de ce qu’il venait de me dire. J’en étais à la fois

heureuse et surprise, je ne savais pas quoi dire, je le regardais qui attendait sa réponse et moi j’étais dans l’impossibilité de lui répondre quoi que ce soit, aucun son ne voulu sortir de ma bouche. J’essayai un oui qui sortit comme un souffle à peine audible. Il dût tendre l’oreille pour l’entendre car il s’approcha de moi, il me prit dans c’est bras ceux même dont j’avais rêvé et désiré, et pour toute réponse il m’embrassa voulutueusement et langoureusement, un de ces baisés qui vous transporte au septième ciel que dis-je au huitième...ciel.

J’aimai ce baisé si tendre et si fort à la fois, un baisé de désir, celui que vous attendiez depuis longtemps, enfin… moi. Nous nous écartâmes un instant, il enleva sa veste et moi je le regardais faire attendant qu’il se décide à me reprendre dans ses bras pour m’embrasser une nouvelle fois. Mais il me prit une de mes mains et la serra fort mais pas trop tout de même, y mit un baisé plein de tendresse et recommença à m’enlasser pour m’appliquer un second baisé que j’attendais avec impatiente tellement il me plaisait. Nous roulâmes dans le canapé, enfin, nous nous asseyâmes dans mon canapé et continuâmes à nous savourer éperdumment. Plus il m’embrassait, plus j’avais envie de lui, mais chose étrange je ne le toucha pas là où il aurait voulu que je le touche à mon tour. Et plus entreprenant que moi, il avait dégraffé mon soutien gorge et déboutonné mon corcage et avait commençé à embrasser mes seins dont il se délectait amoureusement.
Il s’arrêta un moment pour enlever d’un coup sa chemise et se mettre torse nu. Il finit par m’ôter mon corcage et mon soutien né né et je me retrouva comme lui torse nu aussi. Nous nous délectâmes encore une fois et comprenions tous deux que nos envies étaient beaucoup plus forte encore. Je l’invitai à prendre le chemin de ma chambre, ce qu’il fit sans se faire prier et nous commençâmes à finir de nous déshabiller à une vitesse incroyable car je me retrouvai dans mon lit nue et lui commençant à savourer mon corps et mon sex.

Une longue nuit d’amour s’annonçait et je m’en réjouissais d’avance.

Il y avait longtemps qu’un homme ne m’avais pas touché et pourquoi ? ! La vie ! un point c’est tout ! Et l’occasion invraissemblable se présentait à moi. Et de plus c’était DUNCAN, DUNCAN JAMES, un artiste chanteur et célèbre faisant partie d’un des groupe pop les plus côté en Angleterre. Mais quelle chance j’avais ! Et de plus un jeune homme beau et vigoureux, à la fois viril et tendre, chameur et désirable. Tous ce qu’une femme comme moi ou comme d’autre peu désirer dans sa vie et c’était moi qui là, en profitait.

Il remonta vers mon visage et déposa sur mes lèvres un autre baisé encore plus tendre et plus voluptueux. Je lui carressais les cheveux d’une main et de l’autre le dos puis le bas de ses reins et plus bas encore ses fesses. Il était bien au-dessus de moi lorsque je finis par lui caresser le sex bandé que d’un mouvement de bas en haut il fit pour accompagner et jouir dans ma main qui le tenait maintenant. C’est alors qu’il finit par m’écarter les jambes et s’apprêta à me pénétrer. D’une douceur extrême il commença son ascension plutôt sa pénétration en moi, moi, qui commença à avoir peur malgré le désir de lui qui me faisait souffrir au bas du ventre et me fit rétracter un instant. C’est alors qu’il me dit de me détendre et de le laisser faire et que je ne devais pas avoir peur et il me demanda si je voulais toujours de lui

et que si non il n’insisterait pas, et qu’il se retirerait mais je lui dis que non que je voulais de lui mais qu’il y avait longtemps qu’un homme ne m’avait pas toucher et que c’est pour cela que je me craignais. Il se retira un instant et prit ma tête entre ses mains, il me regardait avec ses beaux yeux et compris ma crainte il me redemanda à nouveau si je voulais de lui et je lui dis à nouveau que oui. Alors, il recommença son ascension en moi où cette fois ci je me laissai emporter et pénétrer. Je sentis son sex en moi et avec une infinie douceur il avançait en moi jusqu’à ce qu’il me fasse connaître l’extase. J’étais emporté dans un nuage et une volupté de jouissance presqu’à l’extrème, je ne pensais plus et je me laissais aller au désir de l’amour.
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MessageSujet: BLUE   BLUE Icon_minitimeMer 6 Juil - 17:43

Bon la suite pour celles qui aiment, attention ça va être très chaud chaud Embarassed sunny
chapitre 10

D’une infinie tendresse il me caressait le visage du bout de ses doigts, il effleurait mes lèvres puis mes yeux et moi je détournais les miens. Toujours en moi, il me regardait jouir et que je reprenne pied, ce que je fis dans les minutes qui suivirent, mais il attendit un peu avant de se retirer. Il était encore sur moi me regardant et me dit tout doux : « tu es si différentes de toutes celles que j’ai connu que je me pose des questions sur toi. Et puis, tu es aussi douce à l’intérieur qu’à l’extérieur que j’ai encore envie de toi » Effectivement il bandait encore et son sex en érection ne demandait pas mieux de me pénétrer encore. Il me demanda tout en me le soufflant à l’oreille de sa voix chaude et grave que j’aimais tant : « puis-je encore ?» Et il accompagna ses paroles aux gestes et écarta mes jambes à nouveau. Je ne le contredis pas et je me laissai faire. J’avais autant envie que lui, et de lui, alors, je me laissai un nouvelle fois pénétré même si je resentis une petite douleur chaude quand il renouvela son action. Mais cela passa, tellement il s’y prenait avec douceur et volupté.
Cela faisait plus d’une heure maintenant que nous étions enlassé l’un à l’autre, et je ne me souciais plus du temps ni de l’heure ni du jour, ou de la nuit qui avait déjà commençée. J’étais dans l’extase la plus total, j’eu une pensée soudaine, je ne le regardais pas mais simplement le plafond de ma chambre lui dans mes bras me faisant l’amour et jouissant aussi biensûr !
« Que c’est bon un homme dans ses bras, qui te fait l’amour, hum umm, il y avait longtemps que je n’avais pas ressenti ça, et qu’est ce qu’il est beau ! Qu’est ce que j’aime son odeur ! Comme j’aimerai que ça dure, cette nuit, je ne voudrais jamais qu’il parte. » Je sentis sa jouissance m’envahir d’un coup et compris que ça allait être la fin, enfin pour le moment.
Quelques minutes après l’extase, que ce soit pour lui ou pour moi, il se retira avec délicatesse et se mit sur le dos savourant son exploit. Il dit : « je n’ai jamais tenu aussi longtemps ». Effectivement deux heures c’était écoulé depuis qu’il m’avait pénétré la première fois et j’en ressenti une euphorie intérieure, juste un sourire se dévoilait sur mes lèvres et lui le prit pour un compliment car il me dit encore : « je n’ai jamais pénétré deux fois de suite en ayant peu d’espace entre les deux érections. Et en avoir deux d’affilées ça tient de la magie tu ne trouves pas ? »
Moi, je le regardais m’expliquer tout ça en essayant de comprendre son anglais que j’essayais de déchiffrer. Je l’observais et l’écoutais admirative et contemplative, j’attendais un autre baisé, ou un autre enlassement, ou autre encore je ne sais pas, je le désirais encore et encore, j’avoue que j’avais une fin de loup plutôt de louve mais je ne lui en disai rien. J’attendis qu’il me caline à nouveau ou m’enlasse tendrement comme fond les amants après avoir fait l’amour.


Mon attente ne se fit pas longue car il me prit dans ses bras et m’embrassa de nouveau je sentais sa langue se poser sur la mienne et ses lèvres pulpeuses se poser sur les miennes indéfiniment, un baisé long comme je les aime, puis il s’arrêta et me demanda : « tu veux dormir ? » Mois interloqué par sa question je baffouillai un non non et un j’ai encore envie de toi et du voir mon air déçu par la question car il me répliqua en me le soufflant à l’oreille de peur que les murs nous entendent : « ne t’en fait pas j’ai encore des réserves mais là je suis un peu essoufflé il va falloir attendre quelques instants mais ça ne serait tarder ». Je lui fis signe que j’avais compris et que je n’étais pas pressé que l’on avait toute la nuit.
Effectivement la nuit s’annonçait longue et savoureuse car je n’avais pas fini ma phrase qu’il me retourna et me prit par derrière et me pénétra à nouveau dans une nouvelle position que je n’affectionnais pas trop mais je le laissai faire car il le faisait toujours avec beaucoup de délicatesse et d’attention pour ne pas me blesser peu être. J’étais sous lui de nouveau mais cette fois-ci mon dos collant à son torse d’où je sentais sa force et tout l’être qu’il était, un homme tout simplement, merveilleux à mes yeux, et ne voyant qu’en moi une simple femme ne demandant pas mieux que de se donner à lui.
Il me remit sur le dos et continua à me faire jouir ainsi que lui pendant une bonne heure. Je me délectais de son sex en moi, de son va et vient et de ses caresses, de son sourire enchanteresse et de son regard bleu qui imprégnait mon esprit. J’essayais de garder en mémoire à cet instant précis ce souvenir délicieux et tout ce que je ressentais en moi, cette jouissance dont je m’étais privé depuis très longtemps et avec quel bonheur il me donnait de me redécouvrir et de me sentir femme une nouvelle fois.
Je ressentais toujours l’extase mais curieusement aucun son ne sortait de moi, certaines femmes poussent des cris paraît-il mais moi je n’en ressentais pas le besoin, non moi c’était en silence ou seulement un petit gémissement de plaisir se faisait entendre à peine audible. Je ne sais pas s’il s’en appercevait ou s’il voulait que je soupire de plaisir pour lui faire remarquer qu’il me faisait jouir mais je pense qu’il n’en avait pas besoin, car son regard sur moi lui suffisait et son va et vient se faisait de plus bel et plus rapide par moment et moi avec mes petits gémissements ou ma comtemplation sur son visage ou mon regard sur lui tout simplement, lui suffisait pour qu’il remarque que je jouissais avec extase.
Après qu’il se soit retiré, et qu’il est déversé en moi à nouveau sa jouissance, il se mit sur le dos les bras au-dessus de la tête et s’étirait comme un bébé avant de s’endormir. Mais je ne lui laissai pas un brin de répit car je me glissai au bas de son ventre et jusqu’à son sex en ayant avant pris soin de couvrir son buste de bisous tendres. Je lui pris le sex tendu dans ma main et je commençai à le goûter et le dévorer comme je savais le faire et dont personne ne m’avait appris mais l’instint féminin avait fait son œuvre depuis. Je le savourai d’une infinie tendresse et avec douceur je le suçais de plaisir. Il apprécia car je l’entendis pousser des petits gémissement de plaisir et me caressait les cheveux de tendresse, ainsi que le dos et les fesses, du coup il me prit les jambes et me renversa, mon sex à la hauteur de son visage et commença à me suçer aussi, et un soixant neuf se présentait à l’horizon. Nous jouissîmes tous les deux, le plaisir était immense, cela dura un bon moment et sans essoufflement nous retombions dans les bras l’un de l’autre pour continuer encore et encore nos ébats amoureux.
C’est alors que des heures passèrent inlassablement DUNCAN toujours aussi en forme pour me faire l’amour et moi tout aussi prète que lui de désir et de délectation amoureuse.
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MessageSujet: Re: BLUE   BLUE Icon_minitimeMer 6 Juil - 17:49

ben voila moi je trouve que cette version est trés bien. elle decris vraiment un vrai moment d'intimité avec l'etre kon desir le plus c'est genial lol ben jatten tout smplement la suite lol Smile
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MessageSujet: BLUE   BLUE Icon_minitimeMer 6 Juil - 17:51

bone lecture lol! la suite demain ou après demain, laché vos commentaire please ,seulement pour m'encourager flower lol! by salut SY
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MessageSujet: Re: BLUE   BLUE Icon_minitimeMer 6 Juil - 18:13

jador vraimen! je trouve que la manière dont c'est ecris sa nous fait voyager dans le plaisir qu'ils ressentent lol tu trouvera peut etre bizar mais c'est ce que je ressent quand je li ta fic
kiss
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MessageSujet: BLUE   BLUE Icon_minitimeJeu 7 Juil - 11:12

MERCI BLUE57 pour tes commentaires, ça me fait très plaisir, je te donne la suite BYBY SY

lol!

CHAPITE 11

Le petit jour pointait son nez et nous étions toujours collé l’un à l’autre, les bras dans les bras c’est alors que DUNCAN bien que plus jeune que moi s’endormit la tête posée sur l’oreillé et coincée sur mon épaule. Je le regardais s’endormir et je sentis son souffle doux s’exprimer sur ma joue, j’avais qu’une envie c’est de lui faire encore plein de bisous, mais je le laissai dormir, il l’avait bien mérité, et moi j’essayai de m’endormir un peu et je finis par trouver un peu de sommeil car c’est seulement vers midi que DUNCAN me réveilla. Il me fit des bisous tendres partout sur mon visage, sur mes épaules, sur mon ventre et sur mon sex, il me demanda : « veux-tu un verre d’eau moi j’ai soif ? » je pensai que nous n’avions pas dîner et que nous n’avions pas non plus but une seule goutte d’eau depuis hier soir. Je lui dis que oui et que la cuisine était à côté du salon. Il se leva et alla chercher une bouteille d’eau et un verre pour moi. Après avoir but, il se remit dans le lit et me caressa les seins tout en me souriant tendrement et m’embrassant dans le cou et sur les joues puis les lèvres. J’avais un homme dans mon lit et tout d’un coup ça me faisait tout drôle, sa tête sur mon épaule je lui caressais les cheveux, ses petites mèches blondes qui masquaient souvent son front et ses yeux et qu’il avait mis sur le côté, nous restâmes un moment ainsi sans rien dire. J’aurais aimer que cela dure une éternité, mais la réalité allait déjà nous remettre dans ses entrailles et déverser son lot de quotidien. Son portable sonna, c’était sa mère qui l’appelait et s’inquiétait de le savoir en France. Il faut savoir que DUNCAN JAMES est très près de sa mère et que celle-ci lui téléphone souvent, normal, c’est son fils unique et adoré. Je crois que j’aurais un fils comme lui je serais comme elle, aussi attentionné mais aussi certainement possessive ce qui est moins bien. Je commençai à me détacher de ses bras et à vouloir me retirer du lit quand je sentis son empoignade m’extirper vers lui, il avait finit de converser avec sa maman et avait laché son portable qui tomba sur la couette, qu’il me serra fort dans ses bras musclés, je ressentis sa force et tout son être d’homme que j’aime tant ressentir chez le mal tel l’être humain. Je me blottis un moment contre sa poitrine lui faisant des bisous tendres. Lui me parsema de baisés goulus sur tout mon corps et ne me laissa pas de répit, je sentis son sex bombé et je compris ce qu’il voulu à la seconde. Je m’en étonnai mais la minute d’après je m’en réjouissai et je le laissai prendre cette décision . Je préférais lui laisser l’avantage car je ne savais pas s’il voulait vraiment refaire de nouveau l’amour. Je voulus ce qu’il voulut et nous recommençâmes nos exercices de la veille ce qui nous poussa jusqu’à une heure avancée de l’après midi.
Nous avions beaucoup de mal à nous séparer, plutôt à nous lever, je crois que l’on était bien ensemble à nous faire l’amour et à nous embrasser. Mais comme on dit tout à une fin et la fin s’approchait inexorablement, DUNCAN commença par aller au toilette et je le suivis deux seconde après et nous commençâmes à émerger tout doucement. Il mit son boxer et moi une nuisette que j’attrappai dans la salle de bain et je finis par aller dans la cuisine nous préparer un café et une sorte de petit déjeuner car j’avais très faim et je crois que lui aussi.
Il avait enfilé sa chemise et son portable à l’oreille il conversait avec quelqu’un et je crois que c’était LEE RYAN un des membres de son groupe. Il était tout près de moi me donnant des bisous dans le cou au passage et moi j’étais en train de préparer le café.

Nous étions attablé à la table de ma cuisine en train de déguster notre petit déjeuné. DUNCAN m’avait demandé de lui préparer des œufs brouillés et m’avait demandé si je n’avais pas des tomates et du bacon. Par chance j’en avais et il se prépara un breafast , un petit déjeuné anglais. Il me réclama du thé, et j’en avais aussi, je lui servit un thé nature sans sucre comme il le désirait, avec un nuage de lait. Moi je me but un café noir comme d’habitude et je mangeai juste que trois biscottes. Il me demanda si c’était tout ce que je mangeais, et enfin de compte je ne ressentais pas tant la faim, mais une douleur bizard dans le bas du ventre dont je ne lui parlai pas. Je lui disai que cela me suffisait amplement et que je n’avais pas très faim en fin de compte. Lui par contre dévorait son petit déjeuner et ça me faisait plaisir de le regarder manger ainsi. Son portable sonna encore et là ce fut je ne sais qui car il bavardait en anglais et je ne compris pas ce qu’il se disait. Je n’entendis qu’un Daniel et un ok ok et il coupa son portable, enfin juste l’appel. Je le regardais boire son thé et son sourire qu’il m’adressa ainsi que son bisou tendre qu’il m’envoya du creux de sa main. Nous étions face à face et nous ne cessions de nous dévisager, sourire aux lèvres tous les deux, amoureux l’un de l’autre et nous comprenions tous deux ce que nous étions en train de vivre et c’était vraiment l’extase.
A la fin du déjeuner il m’embrassa et me demanda s’il pouvait prendre une douche, je lui répliquai aussitôt que oui sans problème qu’il était chez lui et que la salle de bain se trouvait juste à côté de ma chambre. Je l’entendis prendre sa douche, je lui donnai des serviettes de bain propre et au moment où je lui tendis une serviette il m’agrippa au bras et m’entraina avec lui sous la douche qu’il venait de commencer à prendre. Ma nuisette valdingua et je me retrouvai nue corps à corps avec lui qui avait le sex bandé de désir. L’eau coulait en pluit fine sur nos corps et nos têtes, et il m’embrassa avec une fougue que je lui connaissais maintenant et qui me faisait plaisir et augmentait mon désir. Il me pénétra d’une façon que je ne connaissais pas et me fit l’amour sous la douche. J’en restais bouche bé. Nos exercices finient, il se mit à me savonner et me lava entièrement comme si j’étais devenu sa poupée. Je le laissai faire car il m’étonnait de plus en plus et je n’avais pas l’habitude de ses égards envers moi. Nous finîmes notre douche ensemble car de mon côté je le lavai aussi et nous nous retirâmes de la douche pour nous essuyer chacun notre tour l’un essuyant l’autre et vis et versa. Nous nous embrassâmes encore et encore et nous dûmes nous séparer et nous rendre à l’évidence que nous ne finirions pas par voir la fin de l’après midi si nous n’arrêtions pas nos élans amoureux. C’est à regret que nous nous séparâmes et nous finîmes par nous habiller. Lui remit ses vêtements de la veille et me dit qu’il se changerait à l’hôtel.
Au moment où je m’apprêtai à finir de me préparer le portable de DUNCAN sonna et il m’apprit qu’il devait partir. Il me dit à ce soir qu’il reviendrait et qu’il avait beaucoup de chose à me dire. Je lui fis confiance et je le laissai partir à regret malgré tout. Une fois la porte fermée sur son départ, je ne pu détaché mon regard sur cette porte et je restai tout un moment à rêvasser, et me dis : « Cette nuit de septembre sera inoubliable et je crois que je m’en souviendrais pour le restant de ma vie. »
Je finis par émerger et je me dirigeai vers ma salle de bain où je me maquillai et me coiffai pour ce qui restait de la journée. Il était plus de quatre heure de l’après midi et je pensai que la venue du soir allait être quand même longue.
Une fois prète je décidai d’aller faire un tour pour m’éclaicir les idées et oublier un instant DUNCAN et ses baisés tendres et ce que nous avions fait ensemble.
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MessageSujet: BLUE   BLUE Icon_minitimeJeu 7 Juil - 11:16

SUITE

CHAPITE 12

Nous étions donc lundi et je n’avais donc pas ouvert la galerie. Je n’y passai même pas et je filai vers le Trocadéro pour m’y promener et voir du monde dont soudain j’avais besoin. Un monde fou, soit des parisiens soit des touristes, s’y promenaient et je me sentis revivre, comme un sentiment de normalité, pourquoi ? Comme si DUNCAN m’avait soudoyer ma personnalité, mon être, et que j’en avais perdu le contrôle. Mais pourquoi je ressentais ça, je ne le comprenais pas moi même, alors que j’avais eu envie de lui, que j’en devenais amoureuse et que je le désirai plus que tout au monde, pourquoi alors je me sentais soudain prisonnière. Est-ce que l’amour me faisait perdre la tête ? Mes sentiments pour lui était très fort de cela j’en étais certaine mais alors pourquoi j’en avais peur ? Je m’étais donné à lui et sans complexe ni concession, alors pourquoi ? Pourquoi je ressentais cette peur en moi ?

Mon mal au ventre de tout à l’heure qui avait passé recommença à nouveau à me faire mal. Je marchai un peu pour le faire passer et je pris la direction du métro car je n’avais pas pris ma voiture et m’embarquai vers les Galeries Lafayette, là peut être je me disais que je penserai un peu moins. La foule de ce grand magasin me permettrai de m’obliger à réagir et à me reconditionner dans le normal, la vie normal mais inexorablement mes pensées me conduisaient vers une image et une douleur soudaine me traversa le bas du ventre. DUNCAN et tout son être était gravé en moi, je le revoyais me faire l’amour et je ne pouvais pas quitter cette image de ma tête. Alors je me fis une raison, je secouai la tête un instant comme pour en faire échapper les images qui me dévoraient le cerveau et pris la décision d’aller au rayon des parfums. Là je me choisis un parfum comme je les aime, doux et sucrés, à l’eau de rose et au jasmin, légèrement corsé dans la volupté des senteurs orientales. Je me dirigeai vers les parfums pour homme et là je restai interrogative car je ne me rappelais plus le parfum préféré de DUNCAN et donc je ne pu lui acheté son parfum car je ne voulus pas me tromper et surtout ne pas lui acheter n’importe quoi qu’il lui aurait déplu. Peu après je fis un tour au rayon lingerie et me choisis un ensemble rouge fort sexy et parsemé de dentelle. Un peu plus loin, il y avait le rayon homme et je voulus y faire un tour aussi, je regardais les chemises, comme par hasard j’étais à la marque DOLCE & CABBANA, (je sus plus tard que c’était la marque préféré de LEE RYAN) donc je regardais les chemises, elles étaient toutes plus belles les unes que les autres, une blanche attira mon attention, elle était avec de fine rayure bleu à peine visible, légèrement cintrée et ma fois assez originale quand quelqu’un m’interloqua et tout bas se penchant à mon oreille et en plus en anglais (qu’étrangement je compris) : «elle est pour votre fiancés ? » Moi surprise, je regardai celui qui me parlais et je vis un homme jeune, grand, blond, de beaux yeux bleus et aussi un sourire ravageur, car il me souriait et moi j’avais la chemise entre les mains et je le regardais en train de me regarder et j’étais bouche bé devant lui ne sachant pas trop quoi dire, car j’avais devant moi LEE RYAN mais je ne lui fis pas savoir que je l'avais reconnu. Je lui envoyai donc une réponse :
Moi :
« Oui effectivement et ça ne vous regarde pas» mais là en français.
C’est alors qu’il se mit à se gratter la tête et dit :
Lui :
« Française ! Excuse me I don’t speak french sorry »



Moi faisant toujours mine de ne pas le reconnaître et essayant d’être le plus naturel :
« Euh ! ben moi non plus enfin je veux dire je ne parle pas bien l’anglais » je lui dis ça en mi-anglais mi-français encore un (anglais, et quel anglais !) je me dis, décidément.
Lui à peine dragueur :
« vous parler pas mal l’anglais je trouve ! Vous avez donc un fiancé ? »
Moi :
« euh ! euh ! Oui, enfin oui, oui, » cherchant la fuite mais …
Et d’un coup je me lançai dans une conversation dans un anglais approximatif à un total inconnu mais fort sympathique dans l’ensemble (mais oui LEE RYAN était totalement un inconnu pour moi) J’essayais pour une fois de ne pas être farouche comme à mon habitude.
Moi :
« Et vous pensez que cette chemise peu lui plaire ? » pensant qu’il connaîtssait les goût de DUNCAN.
Lui faisant le vendeur :
« Et bien, il a quel couleur de cheveux ? Et ses yeux ? Il est blanc, noir ? »
Moi interloqué par tant de questions et lui dis tout de go et souriant à ses mimiques d’imitation de vendeur :
« euh ! euh ! et bien, il a les cheveux blonds, il a les yeux bleus et c’est un blanc » et je rajoutai :
« il est grand comme vous et il est anglais, comme vous ! »
lui :
« Ah ! Tiens ! »
Et il me souffla dans l’oreille,
Lui :
« c’est mieux qu’un français »
Moi surprise mais pas choqué et voyant qu’il me disait ça avec beaucoup d’humour et de coquinerie dans les yeux et dans la voix.
« Et bien, je ne peux pas vous dire, c’est privé ces choses là, et je lui lançai et vous vous les trouvez comment les françaises ? » hum ! le parodiant sur sa rélexion coquine.
Lui :
« Très jolie, et aussi très classe, il s’appelle comment votre fiancé ? »
Moi :
« Pourquoi vous voulez savoir son nom ? Je savais que si je lui disais le nom de DUNCAN il m’aurait posé d’autres questions que je voulais éviter il était évidant qu’il le connaîssait»
Lui
«Et bien je le connais peut être, il fait quoi ? »
Moi ne sachant pas si je devais continuer plus loin cette conversation, je n’avais pas l’intention de poursuivre la discussion mais je m’avançai à lui dire :
« Il est chanteur, na ! »
Lui :
« Ah ! Bien moi aussi, je le connais sûrment ! »
Moi lui jouant la comédie (évidemment qu’il le connaîssait puisque que DUNCAN était son ami dans la vie et proffessionnellement) :
« vous êtes chanteur ! » améliorant mon étonnement
Lui me faisant chute avec son doigt sur sa bouche :
« oui,oui mais faut pas crier comme ça, je m’appelle LEE RYAN et vous ? »
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